C’est le 21 juillet dernier que le film en prise de vues réelles Barbie a fait irruption dans les cinémas, provoquant une avalanche de rose un peu partout sur la planète. Si la réussite de la campagne promotionnelle n’est à n’en point douter, il faut dire que le long-métrage en soi s’avère une vraie pépite! 💎 D’ailleurs, la fin du film Barbie en aura fait sourciller plus d’un! On vous explique tout ça ci-dessous.
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🚨 L’alerte au divulgâcheur résonne ici aussi fort que le message féminin contenu dans le film. La suite de l’article est à vos risques et périls, puisqu’il est question de la fin du film Barbie.
Une fin vraiment inattendue!
Pour ainsi dire, on ne savait pas trop à quoi s’attendre en allant regarder le film de Greta Gerwig, mais certainement pas à ça! En effet, Barbie (celle incarnée par Margot Robbie) décide de quitter Barbieland et de s’établir dans le vrai monde. Cette décision survient quand Ruth Handler, la créatrice de la poupée Mattel, débarque à Barbieland et décide d’aller se promener avec Barbie. Si tous les habitants semblent désormais avoir une bonne idée de qui ils sont ou souhaitent devenir, ce n’est pas le cas pour Barbie stéréotype.
Souhaitant se détacher de la perfection qui l’entoure, Barbie est perdue, esseulée et ne sait plus ce qu’elle est. Lors de leur balade, la poupée confie alors à Ruth qu’elle souhaite devenir une humaine. Ce qu’elle désire, c’est avant tout de faire partie de ceux qui imaginent les choses et non d’être ce que d’autres ont imaginé. Elle veut être une femme qui suit ses envies et qui ressent des émotions, aussi complexes soient-elles. La dame affirme que Barbie n’a pas besoin de sa permission pour aller dans le monde réel, car elle peut être ce qu’elle a envie de devenir. 🙆🏼♀️
La scène finale se dépose quand Barbie, maintenant dénommée Barbara, se rend… chez le gynécologue!
Qu’advient-il des autres personnages?
Après avoir été écartée des autres Barbie, Barbie bizarre (Kate McKinnon) obtient le pardon présidentiel et réintègre Barbieland. Cela est sans doute attribuable au fait que les poupées veulent désormais s’affranchir des stéréotypes et laisser tomber le culte de la perfection qui les tenaillait. Suite à cela, la scénariste Gloria (America Ferrera) propose au patron de Mattel (Will Ferrell) la création d’une Barbie ordinaire. Or, celui-ci semble davantage intéressé par l’argent qui pourrait en résulter que l’idée en soi, mais c’est déjà un début!
Puis, quant aux Ken, ils ont appris qu’ils n’ont pas besoin de Barbie pour exister, et vice versa. Ils peuvent être eux-mêmes sans être courtisés par la masculinité toxique. « Je suis Ken! », s’exclament-ils tour à tour, témoignant d’un vent nouveau à Barbieland. ✨
