L’été, les grands épisodes de sécheresse mènent (trop) souvent à des feux de forêt, tandis que l’hiver, c’est la fumée des systèmes de chauffage qui nuit à la respiration d’un air sain et pur. Ainsi, qu’ont en commun ces deux événements? Ils nuisent tous les deux à l’indice de qualité de l’air de la région. Sachant que la pollution peut perturber le système respiratoire des personnes souffrant d’asthme et de faiblesse pulmonaire, il est primordial de s’y intéresser et de consulter régulièrement cet indice de mesure.
Pourquoi s’y intéresser?
Avant tout chose, il convient de savoir que l’indice de qualité de l’air est utilisé par les météorologues pour informer la population de la présence de certains polluants. En effet, un tel indice prend en considération (au Québec, du moins) le niveau d’ozone, de monoxyde de carbone, de dioxyde de soufre, de particules fines et de dioxyde de carbone qui est présent dans l’air que l’on respire. Il est essentiel de s’y intéresser, parce qu’à chaque année, des milliers de personnes meurent à cause d’une telle pollution.
Comment est-ce que ça fonctionne?
Pour connaître l’état de la qualité de l’air de la ville dans laquelle on se trouve, Météomédia met à notre disposition un outil de mesure idéal pour cela. De ce fait, en cliquant ici, vous pouvez consulter ledit indice. Si ce dernier s’avère trop élevé, peut-être devriez-vous reconsidérer votre activité extérieure? Pour certains, il en va de leur vie!
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Source
Qu’est-ce que l’indice de qualité de l’air?, Radio-Canada (consulté le 16 juillet 2021).
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